
LA DEMANDE
Valoriser l’identité de l’agence grâce à une vraie narration, instaurer un état d’esprit différenciant pour attirer des clients et réussir à lier deux
entités qui paraissent paradoxales : l’agence Racines de demain et le jardin en permaculture qui vit grâce à l’agence.
Un réel dilemme : des anciens publicitaires qui se lancent dans la permaculture paraît paradoxal.
Valoriser l’identité de l’agence grâce à une vraie narration, instaurer un état d’esprit différenciant pour attirer des clients et réussir à lier deux
entités qui paraissent paradoxales : l’agence Racines de demain et le jardin en permaculture qui vit grâce à l’agence.
Des publicitaires qui s’occupent de la terre ?
Non ! Des "publiciterres" !
Valoriser l’identité de l’agence grâce à une vraie narration, instaurer un état d’esprit différenciant pour attirer des clients et réussir à lier deux
entités qui paraissent paradoxales : l’agence Racines de demain et le jardin en permaculture qui vit grâce à l’agence.








LE PROJET
2 soucis : deux entités qui sonnent comme une antithèse (l’agence vs le jardin) et une perception “manipulatrice” et “intrusive” de la communication par le public. En faisant de ces contraintes une opportunité, et en assumant ce paradoxe d’identité, nous arrivons à un juste milieu qui servira de prise
de parole à Racines de demain pour changer la finalité de la com et donner toute sa place au jardin,
grâce au concept suivant : “Les publiciterres”
Des publicitaires qui s’occupent de la
terre ? Non ! Des "publiciterres" !

Un réel dilemme : des anciens publicitaires qui se lancent dans la permaculture paraît
paradoxal.
LA DEMANDE
Valoriser l’identité de l’agence grâce à une vraie
narration, instaurer un état d’esprit différenciant pour attirer des clients et réussir à lier deux
entités qui paraissent paradoxales : l’agence Racines de demain et le jardin en permaculture qui vit grâce à l’agence.
LE PROJET
2 soucis : deux entités qui sonnent comme une antithèse (l’agence vs le jardin) et une perception “manipulatrice” et “intrusive” de la communication par le public. En faisant de ces contraintes une opportunité, et en assumant ce paradoxe d’identité, nous arrivons à un juste milieu qui servira de prisede parole à Racines de demain pour changer la finalité de la com et donner toute sa place au jardin, grâce au concept suivant : “Les publiciterres”





